Partis de Waterbeach Cambridge à 13H UTC, les pico-ballons G-04 et G-05 devraient survoler l’hexagone à partir de cette soirée.
Après B-54 qui a survolé lui aussi l’hexagone et qui se trouve actuellement au-dessus de l’Espagne, voici une nouvelle occasion pour les stations françaises de participer au suivi et à l’envoi des informations de positionnement de ces ballons.

Caractèristiques pour les 2 ballons: RTTY 300baud 7N2, émission discontinue sur 434,125 et 434,510 (USB).

A décoder entre autres avec FL-DIGI, celui-ci transmettant en automatique, les réceptions correctement décodées sur le net, afin de participer au positionnement de ces ballons.

source JSL – Vendredi, les élèves de la seconde aéronautique du lycée Léon-Blum ont lâché pour la septième fois leur ballon-sonde au-dessus du ciel creusotin. Avec une enveloppe de seulement 700 € pour l’année, ils réalisent ainsi de nombreuses expériences sur la température, l’humidité, l’ensoleillement ou encore la pression atmosphérique.

Après plus d’une demi-heure de gonflage, le ballon s’est envolé pour 2 h 30 de vol. Des clichés ont été pris tout au long de l’expérience qui devait conduire la sonde jusqu’à près de 30 km d’altitude, avant un retour espéré aux alentours de Montbard.

Ci-contre la prévision des alertes electroniques calculée pour un éclatement à 28.000 mètres.
Le Lycée MONTJOUX de BESANCON lâchera demain 25 mai à 14h00 son ballon.
La manifestation n’est pas publique.
APRS sur 137.050 Mhz FM.
Indicatif BALLON-11

Télécharger la prévision en 3D pour Google Earth
cliquez OUVRIR pour lancer Google Earth ou enregistrer ce fichier.

AGRANDIR la carte

source: creusot-info –
Il s’agit du septième projet mené au Lycée Léon Blum sur cette thématique.
Il était un peu moins de midi, ce vendredi en fin de matinée, quand devant de nombreux lycéens et parents il s’est envolé. Le support Ballon-sonde avait été retenu comme projet pédagogique avec certaines classes ; en Seconde Générale Aéronautique et en Première STI2D spécialité SIN (Sciences et Technologies industrielles, Systèmes d’Information et Numérique).
La nacelle avait embarqué une caméra, un appareil photographique et son déclencheur, des montages permettant l’observation de la température, de la pression atmosphérique ainsi qu’un module de transmission des mesures en direction de notre observatoire terrestre.
De plus, à bord de cette sonde, un capteur d’humidité intelligent nous renseignera sur le taux d’hygrométrie des couches atmosphériques traversées :
Un capteur d’ensoleillement fera découvrir les rotations effectuées par la nacelle lors de son voyage
Les nouveautés de ces années :
– Utilisation de nouveau capteur afin d’obtenir des mesures plus précises
– Une expérience consistera à déterminer jusqu’à quelle altitude peut se propager le son (élaborée par les élèves de 2de générale enseignement de détermination MPS).
La sonde sera lâchée vers 11h45 et atteindra une altitude de 30km.
Vendredi matin, Frédéric Helias, qui a porté le projet avec ses collègues Michel Zabawa, Jean-Marie Thierry, Marc Duboux et Christophe Miguet, a indiqué que c’est du côté de Montbard, entre 14h15 et 14h45, que le ballon sonde devait retomber, après être monté à 30 kilomètres d’altitude.
A vol d’oiseau, Montbard se situe à 91 kilomètres du Creusot. Toute la question est de savoir si le ballon pourra être effectivement récupéré. Il n’a pas été équipé d’un GPS, mais seulement d’une carte GSM. Le projet a été financé par le Conseil Régional de Bourgogne, le Lycée et bien évidemment avec la participation très active du CNES.

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source Est Républicain – Enseignement – 15 élèves du lycée Aragon de seconde générale ont lancé un ballon stratosphérique pour calculer le diamètre de la terre. Un projet plutôt gonflé

Il était 11 h 15 hier matin dans la cour du lycée Aragon d’Héricourt, quand David Geoffroy, référent du CNES, tonnait le décompte des secondes du lancé de ballon par les élèves de seconde générale. Comme dans les bureaux du pas de tir de la Nasa, lorsqu’un lancement est réussi, les applaudissements claquèrent.

À raison de 5 mètres par seconde, l’aérostat montait à la verticale dans le ciel. « Un beau lâcher », dira le directeur en félicitant tous les ballonistes. Ce n’était pas gagné. Avec un vent qui soufflait par petites bourrasques intermittentes. Il fallut toute la maîtrise des experts et des élèves scientifiques pour choisir le moment propice avec un œil sur la girouette du lycée.
Aragon fly

Ils sont 15 élèves de la classe de seconde 3 (SL,) professée par Alain Froiduro, à avoir choisi l’option d’enseignement d’exploration. Un projet de science élaborative dont la problématique à partir des données relevées en instantanées sera de calculer le diamètre de la terre, relever les écarts de pressions atmosphériques, de températures, de luminosité et prendre des photos. « Une équipe très motivée », note le professeur dont la plupart des élèves restaient en dehors des heures pour terminer le projet. La stratosphère est inaccessible aux satellites et traversée trop rapidement par les fusées-sondes. Les ballons ou aérostats peuvent facilement évoluer. Le ballon baptisé Aragon Fly (vole), lesté d’une nacelle (1,5 kg) bourrée de capteurs, d’un GPS, appareil photo, est suivi en live sur les ordinateurs du lycée. « La trajectoire, nous en avons une bonne idée avec l’analyse des courants. Il devrait prendre toute la crête des Vosges, son éclatement est prévu dans l’après-midi aux environs 30.000 mètres d’altitude. De 5 m³ au départ, à son lancement, l’aérostat atteindra un volume de 500 m³ (100 fois plus grand) au moment de sa destruction. » En même temps que le lâcher, deux fidèles bénévoles de l’association ARGESTRA des radio-amateurs de Franche-Comté partiront sur le point supposé d’éclatement du ballon, entre Saint-Dié et Obernay. Si tout se passe bien, ils rapporteront la nacelle en bon état au lycée dans la soirée et les jeunes étudiants, jusqu’à la fin de l’année scolaire, pourront étudier à loisir toutes les données et annoncer le diamètre de la planète terre.

Un projet sponsorisé par le CNES qui est planifié dès le début d’année et soumis à l’autorisation de l’aviation civile.

source: aras-ref-72 – La journée s’est bien passée
la récupération du ballon aussi (avec un traceur GSM)
les télémesures avec le baofeng uv3r sans aucun soucis pour le 3eme vol

Nouveautés :

2 Systèmes de mesures embarquées:
– Analogique (pression, temp, humidité, IR) 100% elèves bac 2014
– Numérique I2C (temp, pression, gyroscope, acceleromètre) 100% elèves
bac 2014
Les données numériques sont intéressantes. A analyser…

– Utilisation d’un igate aprs raspberry pi
– Logiciel de décodage des trames aprs 100% elèves bac 2014

-Utilisation du tinytrack 4 pour décoder les trames en mobile sur
afficheur LCD (100% de décodage)

LA camera gopro a bien fonctionné mais manque un peu de mémoire (pas la video de l’atterrissage)

Un montage video sera diffusé prochainement avec les analyses des
télémesures.

Merci aux Om pour le support logistique de la réception sur le site de
lancement ainsi que pour les prises de vues photos.
Merci aussi à Olivier de planète science et à Sylvie pour les prévisions.
Le ballon gonflé à 5,3 m3 d’hélium est parti du bois de l’Epau à 11h 45 , a atteint plus de 30 000 m avant d’éclater. La nacelle a atterri à 14h45 ( 3 h de vol) au nord de FIRFOL à l’est de Lisieux. Nous l’avons retrouvé à 15h40 dans un champ parmi les vaches.

Rendez vous l’année prochaine pour un nouveau vol avec encore plus de
nouveautés.

73 Anthony F4GOH

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