Malgré le froid et la pluie, les enfants ont pu lâcher le ballon aux alentours de midi./Photo Joël Boyé.
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Depuis 1993, l’opération «Un ballon pour l’école», action pédagogique initiée par le CNES et Planète Sciences, permet aux jeunes des établissements scolaires de réaliser des expériences scientifiques, grâce à un ballon stratosphérique.
Cette année, ce sont les élèves de la classe de CM1 de l’école Jules-Verne qui ont eu la chance de concevoir ce projet. Tout au long de l’année scolaire, les enfants ont pu mettre en place et construire une nacelle, nommée BJV, accrochée à un ballon stratosphérique censé monter jusqu’à 30 km de hauteur, ayant pour but d’observer l’évolution de la température et du paysage au fur et à mesure que le ballon prendra de l’altitude.
Notions scientifiques
Cet équipement censé arriver jusqu’à la stratosphère est composé d’un ballon gonflé à l’hélium pour pouvoir s’élever au-dessus des nuages, d’un parachute pour assurer la descente de la nacelle une fois que le ballon aura éclaté à cause de la pression, d’un réflecteur radar, pour permettre aux avions de repérer le ballon et ainsi éviter d’entrer en collision avec lui, et enfin d’une nacelle créée par les enfants, entièrement en polystyrène et équipée d’un appareil photo chargé de prendre des photos d’un thermomètre afin de mesurer les différentes températures, et de deux autres appareils, un vers le bas et un autre vers le haut, pour suivre l’évolution des paysages.
Cette initiative permet aux enfants de découvrir de manière ludique de nombreux sujets comme l’apprentissage de notions scientifiques, le travail en équipe ou encore la gestion d’un projet. Après une année de travail, c’est le 26 mai dernier, malgré la pluie et le froid et sous le regard de Gilles Craspay, adjoint au maire de Tarbes, que les scientifiques en herbe ont pu gonfler le ballon et laisser s’envoler la nacelle.
Cette dernière leur communiquera sa position tout au long de son ascension grâce au système Kiwi qui enverra les données via un ordinateur.
Yannick Lonca

Blagnac amateur radio a été créée le 12 mai 1981 et regroupe des passionnés. «Des gens bénévoles, intéressés par les méthodes et techniques de radiocommunications à titre individuel, possédant ou non une licence de radio amateur et utilisant l’une des trois stations de l’association, un noyau dur de six adhérents et jusqu’à plus d’une vingtaine d’intéressés», explique Robert Heleu le président. Avec une solide vocation pédagogique : «Nous avons formé plus d’une vingtaine de candidats à l’obtention du droit d’émettre, et nous continuons à accueillir tous les candidats éventuels, tout comme nous assurons volontiers des projets communs avec des écoliers recherchant des contacts radio avec le monde entier, y compris des astronautes comme nous l’avons déjà fait». Et aussi des projets transverses pour l’an prochain : «avec le club de minéralogie, nous allons effectuer une exposition sur l’utilisation des matériaux dans l’industrie, dans notre cas, la galène». Un dynamisme qui n’est pas passé inaperçu, puisque lors de la soirée des présidents de la ville, Robert s’est vu remettre le trophée des présidents, peut-être en a-t-il informé les radios amateurs du monde entier….
source: IUT de Valence – Hier, le L0AD a présenté le projet UBPE@Valence lors du festival “L’art de l’envol 2014” à Annonay.
Après la réussite relative du Galaxy Beam de Samsung, l’intégration d’un picoprojecteur dans un téléphone pourrait franchir un nouveau cap, grâce à un petit module conçu par Ostendo. Malgré sa petite taille, il est capable de projeter des images avec une impressionnante diagonale de près de 122 cm. La taille de ce module est environ celle de l’appareil photo d’un téléphone tactile récent, ce qui devrait faciliter l’intégration du projecteur.
source: dronologue.fr – Le stockage de l’énergie est un des points faibles du drone. La plupart du temps, l’énergie est d’origine électrique et les accumulateurs sont lourds et représentent une part importante du poids d’un drone (multirotor ou aile fixe). Plusieurs constructeurs ont placé des panneaux solaires sur des drones à voilure fixe pour que ces drones volent pendant des semaines ou des mois à des altitudes où le trafic aérien est inexistant (ce sont des satellites atmosphériques en fait).
Un ballon hydrogène habité à suivre sur 137.050 en Mode 600 bauds, vous pouvez le suivre également sur aprs.fi
Déjà 22 ans que la ville de Marennes accueille notre rassemblement né à La Grande Côte et qui a ensuite migré dans la Halle aux Vivres de Brouage.
Quoi de plus frustrant que de devoir rester accroupi à côté d’une prise lorsqu’on veut utiliser son téléphone mobile pendant qu’on le charge ? La société américaine Energous a mis au point une façon révolutionnaire de transmettre de l’énergie qui pourrait mettre fin à ce problème du XXIe siècle. Ce système transmet sur une distance de 4,50 m, même si vous vous déplacez, jusqu’à 10 W, plus qu’il n’en faut pour recharger vos téléphone et tablette tactiles.
1. BUT
Les 2 et 3 juin deux expérimentateurs de VLF ont réalisés l’exploit d’une traversée de l’Atlantique sur la fréquence VLF de 8,971 KHz entre la Caroline du Nord et le Royaume-Uni.
La voiture automatique n’est plus un rêve