Comme quoi il y à des jeunes qui construisent…
Bravo Tony.

Voir les photos de la construction en détail ici

07/11/2013: Changement du rotor de l’antenne HF de la station F6PCT au COGIC d’Asnières par une équipe de Rasec.
source: fnrasec.org

Info: Ria Novosti – La torche des Jeux olympiques d’hiver 2014 de Sotchi passera environ 4 heures dans l’espace le 9 novembre prochain, a annoncé mercredi à Moscou le service de presse « Sotchi-2014″.

« Les cosmonautes russes sortiront la torche olympique « Sotchi-2014″ dans l’espace. Ils y passeront environ quatre heures, leur expédition olympique spatiale sera diffusée en direct », a indiqué le service de presse dans un communiqué.

La mission visant à sortir la torche olympique de Sotchi dans l’espace sera confiée aux cosmonautes Oleg Kotov et Sergueï Riazanski qui se trouvent en orbite depuis plus d’un mois. Avant leur sortie extravéhiculaire, les deux cosmonautes porteront la torche non allumée dans tous les segments de la station orbitale, selon le communiqué.

La torche olympique arrivera à bord de l’ISS avec le 37e équipage permanent de la station comprenant le Russe Mikhaïl Tiourine (commandant), le Japonais Koichi Wakata et l’Américain Richard Mastracchio. Cet équipage décollera vers l’ISS à bord du vaisseau spatial russe Soyouz TMA-11M le 7 novembre depuis le cosmodrome de Baïkonour, au Kazakhstan.

Mikhaïl Tiourine, qui a déjà participé au relais de la flamme olympique le 10 octobre dernier dans la ville russe de Kolomna (région de Moscou), remettra la torche aux cosmonautes Kotov et Riazanski après l’arrimage du Soyouz TMA-11M avec l’ISS.

Le Russe Fiodor Iourtchikhine, qui se trouve actuellement en orbite, ramènera la torche sur Terre le 11 novembre.

Le relais de la flamme olympique a commencé à Moscou le 7 octobre 2013 et doit arriver à Sotchi, ville hôte des XXIIèmes Jeux olympiques d’hiver, le 7 février 2014.

Info: ED65 – Les radioamateurs du département seront présents à cet évènement sur le stand tenu par le radio-club F6KPH.

VITRY-LE-FRANCOIS (51). Un chasseur haut-marnais a retrouvé le ballon-sonde envoyé le 11 juin par des élèves de Terminale S, qui s’était perdu dans les airs.Info: L’Union – Le week-end dernier, alors qu’il s’adonnait à son sport favori, Christian Kuntz, le président de la société de chasse de Mertrud, en Haute-Marne est tombé nez à nez avec un objet bien mystérieux.

Après avoir observé le passage de sangliers au niveau du lieu-dit « au pré des noues », son attention est attirée par un objet rouge et brillant. C’était en fait, la nacelle d’un ballon-sonde encore équipée d’une partie de sa chaîne de vol (parachute et réflecteur radar), envoyée le 11 juin dernier par des élèves de Terminales S du lycée François 1er de Vitry-le-François.

« Sans se poser de questions, il a rapporté cet objet encombrant chez lui et a téléphoné au numéro du Centre national d’études spatiales (ndlr : CNES) inscrit sur la nacelle pour prévenir de sa précieuse découverte », explique Xavier Louis, l’enseignant responsable de cette opération. Informé de cette nouvelle, inespérée vu le temps écoulé depuis le lancement, il s’est donc rendu à Mertrud pour récupérer l’objet. « Le système de géolocalisation permettant de retrouver la sonde était tombé en panne durant la descente et n’avait pas permis de la retrouver ».

24 km d’altitude et quatre heures de vol

C’était d’ailleurs l’une des craintes des lycéens à l’origine du projet. Le jour du lancement, les conditions atmosphériques étant pourtant favorables, l’équipement était monté tout de suite droit et assez haut dans le ciel. Avant de prendre la direction de Vitry-en-Perthois puis du Der. « Pourvu qu’il ne tombe pas dans le lac », avait confié ce jour-là, Pierre, un élève.

« Après une première analyse, il s’avère que le ballon est monté jusqu’à 24 km d’altitude, pour un vol d’environ quatre heures », précise l’enseignant vitryat.

L’équipement embarqué a pu, durant ce laps de temps, réaliser en autre de très belles prises de vue à différentes altitudes. C’est avec une très grande joie que les six élèves embarqués dans cette opération , Thomas Lauvergeon, Audrey Bourgeois, Pierre Humbert-Foubert, Rémi Peccart, Aubert Evandre et Dorian Frerson, ont appris cette nouvelle.

Devenus étudiants, les élèves et leur enseignant ont apprécié le geste désintéressé du chasseur.

INFO: ON6TI via UBA – Le Satellite FUNCube-1 sera emporté par une fusée RS-20B (Dnepr) de la base Yasny. Le lancement est prévu le 21 novembre à 07:10:11 UTC (avec date de rechange le 22 novembre 07:10:11 UTC).

FUN Cube-1, fabriqué par AMSAT-UK et AMSAT-NL, emportera un transpondeur linéaire ainsi que plusieurs « expériences » dédiées au monde scolaire.
Le site funcube.org.uk donne tout les détails de ce satellite.

Info DNA – Il y avait de l’effervescence samedi 19 et dimanche 20 octobre au premier étage de l’ancienne école primaire de Walbourg : les scouts de Hoenheim-Saint-Joseph étaient dans le local du Radio club de Walbourg (F5KAV) pour un « jamboree ».
Le « jamboree » est un moment de radio scoutisme international. Ce dernier a été rendu possible à Walbourg grâce à un rapprochement de deux générations : les radioamateurs, des adultes, ont avec beaucoup de patience formé les plus jeunes, des scouts.

Le groupe de scouts était composé de Vincent Tupinier, Loïc Kessler, Yoan Boni, Florian Diroff, Jean-Philippe Hirth, Alexandre Jimenez, Dylan Bonin, Amélie Chrétien, Zoé Derringer et Lyne Moulin, tous âgés entre 11 et 14 ans.

Les radioamateurs, dont nous citons également le code lié à leur fonction, étaient René F6JMI, André F1FTR, Jean-louis F5MDW, Eric F0GRC, Pierre F0JWC, Alexis, et Guy F2QJ, le doyen.

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Un émetteur et un récepteur avec, pour chacun, une antenne sur trépied et un ordinateur portable : C’EST TOUT !
Facile à mettre en oeuvre, simple d’exploitation et fiable

Le SPELEO-GRAF LB(1) permet d’envoyer(2) à travers l’air et la roche des brefs messages genre SMS tout comme de longs textes et des données alphanumériques, tous mémorisables, entre la surface et le fond de cavités souterraines actuellement de plus de 100 mètres de profondeur et de 500 m de développement.

PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT

Il repose sur la faculté d’un champ magnétique alternatif de traverser la plupart des roches(1) et surtout sur la manipulation de ce champ par un mode fidèle de radiocommunications par télégraphie numérique en VLF(2) de pénétration souterraine optimale.

⁽¹⁾ Cf. annexe A – extrait d’un article 576/73 de E. RADIO PLANS : « Détecteur EM »
     et principe de fonctionnement du dispositif TEPEX
⁽²⁾ Very low fréquencies : ondes radio très basse fréquence, voisine de 3kHz, soit une longueur d’onde de 100 km

Le « moteur » du procédé est un logiciel de manipulation radio par saut de phase, en BPSK (Binary Phase Shift Keying), pilotant ici l’émetteur à 3300 Hz. Entre autres qualités, son traitement informatique lui confère en réception un exceptionnel rapport signal/bruit. Le logiciel fonctionne sous les différentes versions de Windows. Le mode de codage-décodage radio-télégraphique automatique BPSK31 convient parfaitement à cette application.

Plus d’infos: http://www.tepex.fr/index.php?page=speleoGraf

INFO: 20minutes.ch – Le travail de maturité a pris un tournant imprévu pour deux étudiants. Ils ont perdu la trace de leur aérostat envoyé dans la stratosphère.

«C’était une immense déception quand nous avons compris que nous avions perdu le contact avec notre ballon-sonde», déplorent Sarah Simons et Emilien Ducommun. Les deux élèves du gymnase de Provence, à Lausanne, avaient pourtant les yeux qui brillaient à l’idée de récupérer un aérostat envoyé à quelque 35km d’altitude pour leur travail de matu. Mais une défectuosité du GPS embarqué n’a pas permis de localiser la sonde à son retour sur terre. Emilien se rappelle avoir été «très énervé» lorsqu’il a réalisé que «c’était de la faute du fabricant, qui assurait pourtant la fiabilité de son matériel».
Le maître (à gauche), Emilien et Sarah lors du lancement. (J. Ducommun)
«Nous avions travaillé une année pour envoyer notre matériel dans un endroit inaccessible pour nous. J’étais tellement impatiente de découvrir les données collectées et les images de la caméra GoPro filmant la Suisse et la courbure de la Terre depuis là-haut», regrette Sarah.

Les deux élèves avaient calculé que leur sonde, lancée du côté d’Yverdon le 25 octobre, devait atterrir dans une zone comprise entre Lucerne et Zurich, après un trajet d’un peu plus de trois heures. «Mes élèves étaient complètement désemparés, raconte leur maître de physique, qui avait déjà réalisé avec succès cette expérience à cinq reprises. Mais on ne peut qu’attendre que quelqu’un retrouve le ballon-sonde et appelle les numéros de téléphone inscrits. Se rendre dans la région reviendrait à rechercher une aiguille dans une botte de foin.» Même s’ils ne devaient pas retrouver la sonde, les deux élèves ne seraient pas pénalisés pour ce coup du sort.

Source: L’Alsace – Passionnés de TSF, Ariel et Danielle Vincent, deux habitants de Sainte-Marie- aux-Mines, ont créé un musée avec leur collection de pièces constituées dès les années soixante. Ils viennent de compléter leur fonds avec une pièce rare.

Nelka, que le couple vient de chercher en Pologne et dont le vrai nom est l’A1, est un émetteur-récepteur très performant utilisé par la Résistance entre 1940 et 1945. Le nom de Nelka lui a été attribué en hommage à une femme, très belle, qui travaillait au bureau des transmissions du quartier général polonais.

Révolutionnaire pour son époque, l’A1 a été développé par l’entreprise polonaise AVA, et plus particulièrement par une équipe d’ingénieurs avec, à leur tête, Tadeusz Heftman. Ce dernier avait été évacué en Roumanie lors de l’invasion allemande, mais avait réussi à gagner l’Angleterre en emportant avec lui les plans et un prototype de l’appareil. Il a alors pu commencer la fabrication d’une cinquantaine d’émetteurs-récepteurs, avec des composants anglais.

D’une portée de 300 km, l’A1 a été fabriqué par le Military Intelligence Service. Ses performances dépassaient de loin celles de tous les autres postes, qui l’ont d’ailleurs imité. Les exemplaires qui ne sont pas dans des musées sont extrêment rares. Celui d’Ariel et Danielle Vincent a rejoint leur propre musée.

Y ALLER Musée de la TSF, Villa Alice, 215, rue Clémenceau à Sainte-Marie-aux-Mines.