Prévision pour un éclatement à 28.000 m à H-24
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Le lâcher est prévu vers 3H30.
L’objectif est d’observer le lever du soleil à 25000 mètres d’altitude.
Fréquence KIWI: 137.050 MHz FM
APRS: BAL254-11 (BAL253-11 est toujours quelque part vers Zurich avec la saucisse de Morteau …)
L’équipe de recherche se compose de JC F5HLQ et de F1SRX. Bien entendu, il y a encore de la place pour tout autre volontaire.
André Borschberg, le pilote de l’avion Solar Impulse tente de rallier Hawaï depuis Tokyo solar impulse 2
Pour la 6e année consécutive, les élèves des classes de 4e et 3e du collège Léon- Droussent ont envoyé un ballon sonde dans les airs.
C’est parti ! Le ballon est lâché et une nouvelle aventure scientifique commence.
L’opération a eu lieu vendredi après-midi sur l’aire d’évolution du stade municipal, où élèves, professeurs et la principale de l’établissement, Michèle Crochot , ont retenu leur souffle jusqu’au moment du décollage.
Le ballon et ses équipements ont été préparés par l’atelier scientifique du collège, sous la conduite de Sandrine Leroux, professeur de sciences, avec les conseils avisés de Daniel Lefèvre, bénévole de l’association « Planète-Sciences de Picardie ». Le projet, sur lequel les collégiens planchent depuis fin octobre, a été subventionné par le Centre national d’études spaciales (CNES), représenté jeudi par Samuel Kauffman.
Le ballon, gonflé à l’hélium, a emporté dans les airs deux nacelles, l’une contenant des capteurs de température, de pression, et de luminosité, mais aussi des échantillons de peinture (glycérophtalique, acrylique, et peinture à l’eau) destinés à étudier leur réaction à la pression atmosphérique, à la chaleur et à l’humidité.
Un périple de 120 à 124 km
L’autre nacelle, plus petite, a été équipée de quatre caméras chargées de restituer les détails du parcours du ballon, dont la retombée sur terre est prévue à 120/124km du point de départ, soit dans la région de Reims. Le précédent ballon, en 2014, a également terminé son périple dans la Marne, à Sézanne.
Toutes les opérations de gonflage et de décollage ont été immortalisées par Guillaume Voët, un ancien élève du collège, qui avait été passionné par l’expérience et qui, depuis 2012, revient chaque année assister au départ.
Les élèves, qui ont suivi de près la trajectoire de leur « bébé », aux côtés de Daniel Lefèvre et de leur professeur de sciences, vont désormais attendre avec impatience les informations qu’il aura récolté.
Celles-ci feront bien sûr l’objet d’un travail dans le cadre des activités de l’atelier scientifique, mais aussi en cours de sciences, de physique et de maths notamment.
Aboutissement d’un très long travail des élèves de CM1 et CM2, avec l’aide du CNRS et de Planète Sciences, avait lieu le 4 juin, le lancement d’un ballon/sonde.
Le ballon a atterri près d’Auch, sur un terrain très accidenté. Le soir même la nacelle était récupérée. Malheureusement au choc la caméra embarquée a été détruite. Si les élèves ont été déçus ne pas avoir d’images, ils ont pu constater que presque toutes les expériences prévues avaient fonctionné. Le système de filtration de l’air a démontré que celui-ci n’était pas si pollué que cela. La température est descendue à moins 40 °C. Les élèves ont constaté qu’elle diminuait avec l’altitude. Par contre ce qui les a perturbés c’est qu’elle continuait à descendre alors que la nacelle retombait. Ils ont pensé que c’était la force du vent qui intervenait. Certains résultats sont encore en analyse. Mais tout devrait être terminé pour la journée du 30 juin où les élèves de CM1 et CM2 répondront à toutes les questions posées par les élèves des autres classes et aux parents qui sont invités à venir s’informer sur cette formidable expérience.
La Dépêche du Midi
Impression générale : pas plus de monde que l’an dernier, autant d’exposants, toujours des choses intéressantes,
des rencontres nombreuses, des tas d’échanges, du très beau temps.
Crédit photo: Roland F5ZV
Merci à Roland F5ZV de nous avoir fait parvenir ces photos dès son retour cette nuit.
Les élèves du collège Sainte-Marie ont procédé à un lâcher de ballon dans la stratosphère, à 30 000 mètres au-dessus du sol. Une expérience inoubliable pour tous les collégiens impliqués dans ce projet depuis le début de leur année scolaire.
Mercredi 24 juin tous les regards étaient rivés vers le ciel au stade Laudou de Déville-lès-Rouen, près de Rouen (Seine-Maritime). Les élèves du collège Sainte-Marie ont lâché un ballon gonflé à l’hélium dans la stratosphère, à 30 000 mètres au-dessus du sol.
Ce projet est conduit avec le Centre national d’études spatiales (CNES) et l’association Planète sciences. Les collégiens suivront ensuite le ballon à la trace grâce à un GPS et par un ensemble de mesures (pression de l’air, variation des températures, prises de vue et de son etc.).
VIDEO : le reportage de Marie Du Mesnil-Adelée et Angèle De Vecchi avec les interventions de :
François Bertemont, Association Planètes Sciences Normandie
Inès, 6ème B
Tom, 6ème C
Pascal Macret, Professeur de technologie au collège Sainte-Marie Responsable du projet
À destination des élèves de 6e et 4e du collège Sainte-Marie, après avoir déposé un dossier, le professeur de technologie Pascal Macré a vu son projet d’étude autour d’un vol stratosphérique retenu par l’Éducation nationale, parmi soixante-dix établissements de l’Hexagone. Pendant l’année scolaire, en collaboration avec le CNES, centre national d’études spatiales, et l’association Planète sciences, représentée par François Bertemont, l’enseignant a organisé son programme pour faire appréhender aux élèves quelques conditions d’un lancement spatial.
Des capteurs et une caméra
Un objectif concrétisé par la fabrication d’un ballon stratosphérique avec une nacelle isotherme de deux kilos, bourrée de capteurs pour mesurer différents éléments physiques, dont la température et la pression à 30 000 mètres d’altitude. Une caméra a été incluse pour filmer la Terre vue de l’espace. « Les élèves ont tout réalisé, sauf l’électronique. Un projet d’un coût d’environ 1 500 €, aidé par l’association », confie Pascal Macré.
Mercredi matin, sur le stade Laudou, en présence de leurs camarades et des parents, le ballon de 300 m3 gonflé à l’hélium a été lâché face au vent.
« Il peut effectuer un trajet de 300 kilomètres et avec la pression, il va exploser et redescendre doucement grâce à son parachute », a commenté Benjamin Le Porher, collégien.
Avec son tracker GPS, le ballon sera récupéré facilement et les données seront étudiées l’année prochaine.
« C’est la concrétisation du travail réalisé en physique et en technologie. Une façon de découvrir concrètement le résultat des études pour des jeunes volontaires et investis. Il en découlera une approche pluridisciplinaire. Nous renouvellerons aussi notre partenariat avec le CNES », est ravi de constater le chef d’établissement Jean-Pierre Laclaval.
En attendant, l’aéronef poursuit son vol vers des contrées lointaines…
Au vu du nombre d’articles parus dans la PQR et même dans les plus grands quotidiens, si vous voulez que l’on parle de votre ballon, ajoutez-lui dans la nacelle un produit régionale et tenter par ce biais d’obtenir un financement complémentaire par le biais d’un sponsor.
La saucisse de Morteau est en vedette cette semaine dans tous les médias grâce à un ballon perdu en Suisse ! et à une diffusion par l’AFP, ce qui a permis à chaque média de broder autour de cette saucisse volante.
Damien Boichat responsable de l’opération du club scientifique du collège Saint-Exupéry de Beaucourt (Territoire-de-Belfort) peut-être satisfait de faire le buzz cette semaine, mais la grande gagnante c’est quand même la saucisse, gageons que pour son ballon 2016, Damien recevra des propositions de sponsors Francs-Comtois désirant, qui envoyer dans la stratosphère un pot de cancoillote ou une part de Comté, qui une bouteille de vin d’Arbois ou encore carrément un panier garni de produits du terroir.
Ainsi on peu lire dans la presse (extraits):
Le Télégramme –
A bord d’un ballon-sonde, une saucisse de Morteau a été envoyée dans la stratosphère par des collégiens de Franche-Comté à 32.000 mètres d’altitude. Seul bémol : la saucisse n’a plus donné signe de vie et les élèves ont perdu le signal GPS. Un appel à témoins a été lancé, ce mercredi, en Suisse, pour tenter de remettre la main sur le ballon-sonde.
Les radios amateurs qui suivaient la nacelle du ballon « ont perdu le signal du GPS ».
Un appel à témoins a été lancé par l’Association de défense et promotion des charcuteries et salaisons IGP de Franche-Comté, propriétaire de la saucisse de Morteau et de deux caméras équipant cette nacelle recouverte de plastique doré et brillant.
20minutes –
Ce projet a été labellisé par le Centre national d’études spatiales (CNES). Certes l’envoi d’une saucisse n’a « aucun intérêt scientifique », reconnaît le professeur qui a encadré le vol de cette saucisse de Morteau donnée par l’Association de défense et promotion des charcuteries (ADPC) et salaisons IGP de Franche-Comté. Mais le périple spatial a été filmé par deux caméras fournies par l’ADPC et le ballon était truffé de capteurs de pression et de température. (NDLR: pour contrôler la cuisson sûrement).
Directmatin –
Pourquoi une saucisse ?
L’envoi d’une saucisse n’avait aucun intérêt scientifique. C’est l’Association de défense et promotion des charcuteries (ADPC) qui en a fait la proposition. Le ballon était néanmoins équipé de capteurs de pression et de température, afin de récupérer des données pendant son périple.
Les élèves du collège travaillaient depuis près d’un an à la réalisation de ce projet, qui a été labellisé par le Cnes (Centre national d’études spatiales).
Libération –
Les radios amateurs qui suivaient la nacelle du ballon «ont perdu le signal du GPS», a expliqué à l’AFP Damien Boichat, professeur de physique-chimie qui anime le club scientifique du collège Saint-Exupéry de Beaucourt (Territoire-de-Belfort), à l’origine de l’expérience.
D’après les dernières coordonnées GPS enregistrées à 1.500 mètres d’altitude, la nacelle et la saucisse sont probablement tombées dans «une zone de plusieurs kilomètres carrés au sol, entre Brugg et Zurich», en Suisse, a-t-il ajouté.
NouvelObS –
« Je ne sais pas trop comment on va retrouver la saucisse, mangée éventuellement, mais pas désintégrée »
NDLR: la saucisse était à l’extérieur de la nacelle, cela était tentant pour chiens, chats et autres. Propriétaires d’animaux vérifiez niches et paniers, vous pourrez faire le buzz …
Elle est partie ! Les élèves du club Sciences des quatre niveaux du collège Saint-Exupéry étaient mobilisés ce mardi matin dans la cour de l’établissement pour le lancement d’un ballon-sonde accompagné cette année d’une belle saucisse de Morteau pour son tout premier voyage dans l’espace.
Le matériel embarqué
La nacelle emportera deux caméras sportives pour filmer la terre vue de la stratosphère. Elle emportera aussi un capteur de pression et deux capteurs de température (un à l’extérieur et un à l’intérieur de la nacelle) mais aussi un module GPS embarqué donnant la position du ballon en latitude, longitude et altitude. Le GPS enverra la position du ballon en direct sur la terre. Tout cela sera relié à un emetteur fourni par le CNES qui permettra de récolter les données des capteurs. De plus le ballon embarquera un réflecteur pour réfléchir le signal radar des avions.
Lâcher prévu entre 10 et 12H.
Prévision du site des alerteselectroniques pour un éclatement à 28.000 mètres.
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Besançon (AFP) – Une saucisse de Morteau a été expédiée à 32.000 mètres d’altitude à l’aide d’un ballon-sonde, mardi, par les élèves d’un club scientifique du collège Saint-Exupéry de Beaucourt (Territoire-de-Belfort), a-t-on appris auprès de l’établissement.
Le ballon-sonde équipé d’un GPS a logiquement explosé à cette altitude et il est retombé sur terre, avec la saucisse, à l’est de Zurich (Suisse), a déclaré à l’AFP Damien Boichat, professeur de physique-chimie qui anime ce club.
« Nous attendons impatiemment que l’association de radios amateurs, qui a installé un système de suivi de nacelle pour suivre le ballon, le retrouve », a ajouté l’enseignant qui a encadré le projet labellisé par le Cnes (Centre national d’études spatiales).
Depuis près d’un an, 18 élèves du collège Saint-Exupéry travaillaient à la réalisation et à l’envoi du ballon-sonde dans les airs.
Embarquer une saucisse de Morteau dans l’aventure, une proposition de l’Association de défense et promotion des charcuteries (ADPC) et salaisons IGP de Franche-Comté, n’avait certes « aucun intérêt scientifique » a concédé M. Boichat.
Mais le ballon était truffé de capteurs de pression et de température, et le périple a pu être filmé grâce à deux caméras embarquées fournies par l’ADPC, a souligné le professeur.
« Je ne sais pas trop comment on va retrouver la saucisse, mangée éventuellement, mais pas désintégrée », a-t-il plaisanté.
Mercredi 24 juin 2015, des élèves du collège Sainte-Marie, de Déville-lès-Rouen, vont procéder au lâcher d’un ballon dans la stratosphère, à 30 000 mètres au-dessus du sol.
Le ballon s’envolera à 30 000 mètres au-dessus du sol, recueillant des images de la terre et diverses mesures scientifiques, que les élèves du collège Saint-Marie à Déville-lès-Rouen exploiteront. (Photo : Collège Sainte-Marie)
Les regards seront tournés vers le ciel, mercredi 24 juin 2015, au stade Laudou de Déville-lès-Rouen, près de Rouen (Seine-Maritime). Si les conditions météorologiques le permettent, les élèves du collège Sainte-Marie vont procéder à un lâcher de ballon dans la stratosphère, à 30 000 mètres au-dessus du sol, entre 10h et 12h. Ce projet est conduit avec le Centre national d’études spatiales (CNES) et l’association Planète sciences. Objectif de la mission, outre la manœuvre consistant à envoyer un ballon gonflé à l’hélium aux portes de l’espace : prendre un ensemble de mesures (pression de l’air, variation des températures, prises de vue et de son etc.) que les collégiens exploiteront.
Avec lui, Léonardo – le nom donné au ballon – transportera ainsi une nacelle, qui comprendra deux caméras, des capteurs divers et un module GPS. Avant le jour J, les élèves ont effectué toute une batterie de tests : sécurité, portée des transmissions de données, fonctionnement des capteurs…
Le matin du 24 juin 2015, le ballon Léonardo sera lâché dans le ciel », expliquent les élèves de 6e et 5e, avec leur professeur de technologie responsable du projet, Pascal Macré. « Le vol durera environ 3 heures, on le suivra grâce aux données envoyées par le GPS en direct. Quand le ballon sera retombé sur la terre ferme, une voiture ira à la position donnée par le GPS pour récupérer le ballon. Si le ballon est inaccessible on pourra télécharger les fichiers vidéo à l’aide d’un smartphone, les données récoltées par les capteurs auront été transmises en direct mais le matériel embraqué sera perdu.
Les images attendues, si tout se passe bien, s’annoncent exceptionnelles.
Grâce aux données des capteurs nous pourrons savoir les différences de températures subies par le ballon lors de son vol », prévoient également les scientifiques. « Le passage dans la couche d’ozone, qui capte les rayons du soleil, devrait nous permettre d’observer une augmentation de température. De -50°C à 10 000 mètres nous devrions passer à seulement quelques degrés au dessous de zéro vers 25 000 mètres.Une petite plante sera également embarquée afin que nous puissions observer sa résistance à ce type de vol.
Une aventure à suivre en direct sur le site de l’opération, mercredi 24 juin 2015.
Le suivi en direct du vol sur grand-écran.
La saucisse de Morteau a été lancée à plus de 30.000 m d’altitude ! Ce mardi 23 juin 2015 à 9h30, une quinzaine d’élèves du collège Saint-Exupéry de Beaucourt (90) ont envoyé la saucisse dans les airs. Mais l’expérience va bien au-delà !
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Elle est partie ! Les élèves du club Sciences des quatre niveaux du collège Saint-Exupéry étaient mobilisés ce mardi matin dans la cour de l’établissement pour le lancement d’un ballon-sonde accompagné cette année d’une belle saucisse de Morteau pour son tout premier voyage dans l’espace.
Un petit défi auquel s’est prêté volontiers Damien Boichat, professeur de physique- chimie qui encadre le club. À 10h la sonde atteignait une vitesse de plus de 188km/h pour atteindre son apogée vers 30.000 m d’altitude peu après 11h. La saucisse retenue par deux fils a été larguée, mais elle devrait redescendre sur terre.
« Le ballon va éclater et la descente devrait durer environ une heure. D’ici 12h, 12h30, nous devrions la retrouver en Suisse. Elle est actuellement au-dessus de Zurich et devrait atterrir dans le secteur de Burg. Une équipe de radio amateur est parti tôt ce matin » indique l’enseignant qui a travaillé tout au long de l’année, deux fois par semaines avec 18 élèves du club sciences.
À bord, les élèves ont installé des capteurs de températures devant lesquels ils ont placé des filtres de couleurs pour savoir si ces derniers influent réellement sur la température. Un travail a été mené conjointement avec le professeur d’art plastique pour mener à bien cette expérience.
Et c’est du sérieux ! Grâce au pavillon des sciences à Montbéliard, ce projet a reçu la labellisation du CNES (Centre National des Études spatiales). « Il faut des autorisations administratives et la validation du CNES, de l’aviation civile, pour pouvoir faire décoller ce type de ballon-sonde » précise David Geffroy, animateur scientifique et en charge de l’assistance technique sur ce projet. « Le coût pour l’établissement avoisine les 200 euros. La contribution du CNES pour l’hélium, l’enveloppe du ballon, les émetteurs Kiwi, le parachute… est de 2.000 euros »
Sur 200 demandes en France auprès du CNES , une soixantaine de ce type projet peuvent réellement décoller, dont neuf en Franche-Comté cette année.
Lâcher de ballon scolaire depuis BEAUCOURT (90) ce matin à 9H15.
KIWI 137.050 MHz avec APRS – indicatif: BAL253-11
Equipe de recherche: F5HLQ
Prévision BEAUCOURT pour un éclatement à 28.000 m
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Le contest VHF UHF de F4EZJ le 6 juin 2015 au Puyconnieux. Une belle installation vhf et uhf. Bravo encore. f6cdx.
Bourse et exposition de T.S.F et matériel radioamateur (9ème édition)
Date : Dimanche 14 juin
Horaire : De 8h à 17h
Lieu : Centre Culturel Pierre Lapoujade – Le Passage d’Agen
Plus d’infos : 06 30 08 48 53 / 06 03 47 18 31
MERSCH- Mercredi, les élèves du Lycée Ermesinde ont tenté de faire monter une sonde à 35 km d’altitude.
Six élèves veulent faire des mesures avec leur sonde et leur ballon. (photo: L’essentiel)
«Selon nos calculs, la sonde devrait atterrir près de Vianden. On espère ne pas la repêcher dans le barrage, il y en a pour 1 000 euros de matériel de mesure», disait François, 16 ans, du Lycée Ermesinde, à Mersch, avant le décollage. Mercredi, à 14h, dans la cour de récré, les élèves observaient six camarades qui gonflaient un ballon d’hélium et opéraient les derniers réglages. L’an dernier, ils avaient déjà fait voler une sonde qui avait failli s’écraser sur le mur de l’internat lors d’un décollage périlleux.
Mercredi, ils remettaient cela pour compléter leurs mesures. «C’est la philosophie du lycée que de laisser les élèves faire leurs explorations eux-mêmes», explique Tom Goedert, leur prof de maths. «Nous allons mesurer les différences de pression et température selon l’altitude, détaille Jad, 16 ans. Et j’ai inclu des graines, je les planterai à leur retour pour voir si elles se comportent différemment après leur passage dans la stratosphère».
Les élèves ont prévu le parachute, demandé les autorisations de vol, inclu un traceur pour récupérer la sonde et même rédigé un message pour le fermier qui la trouverait dans son champ. C’était sans compter sur un filin qui a lâché. Mercredi, la sonde est donc restée au sol pendant que le ballon s’envolait. Mais ce n’est que partie remise.
«Un ballon pour l’école» est un beau projet pédagogique qu’ont vécu les élèves de 6e1 Segpa du collège Lapacca, avec les élèves de CM 2 de l’école Honoré-Auzon, encadrés par leurs professeurs respectifs, éric Laffitte et Daniel Vélut. Les élèves ont compris le principe de la poussée d’Archimède en étudiant l’étude des couches denses de l’atmosphère. Pour cette expérience scientifique, le CNES a fourni le ballon expérimental avec l’hélium pour le gonfler, puis la chaîne de vol constituant le parachute, le réflecteur-radar pour repérer le ballon dans le ciel et le routage des avions de ligne. La nacelle contenant des appareils photo a été conçue par les élèves. Elle embarque également un système de télémesure qui va transmettre au sol les résultats des expériences en temps réel. Lundi 1er juin, c’était le grand jour où la décision était prise pour envoyer le ballon stratosphérique composé d’une charge de 2,500 kg à une altitude avant éclatement de 30 km, pour une durée de vol de 3 heures. Grand moment de suspense pour le lâcher de ballon dans la cour de Lapacca, sous la responsabilité de Sylvain Rondi, aérotechnicien à Planète Sciences, qui aura l’aide ensuite des radioamateurs des départements du Gers et des Hautes-Pyrénées. Ont assisté à cet événement les 10 classes élémentaires et élèves de 6e Lapacca ainsi que les CM2 d’Auzon en présence de Martine Armagnac, proviseur du lycée Sarsan, et des enseignants. Les conditions météo étaient favorables et après avoir prévenu la tour de contrôle de l’aéroport, le ballon s’est envolé avec sa chaîne de vol. Le vent ayant donné la direction du Gers, c’était donc réussi !
Simone Beugin
The Planetary Society
La mission de test LightSail de la Planetary Society a réussi son premier objectif de déployer une voile solaire en orbite terrestre basse, a déclaré le gestionnaires de la mission .
La station au sol sur Cal Poly San Luis Obispo a reçue lors du passage qui a commencé à 13h26 EDT (17h26 GMT), les derniers morceaux d’une image de la voile solaire déployée.
L’image confirme que les voiles ont été déployées, ce qui était l’étape finale d’une mission destinée à ouvrir la voie pour un vol de voile solaire à part entière en 2016.
Le conseil d’administration de RAQI a procédé à la nomination de son nouvel exécutif lors de son conseil d’administration du 30 mai dernier dont voici sa composition :
Président : Guy Richard, VE2XTD
Vice-président : Frédéric Thisdèle, VE2ONR
Secrétaire : Pierre Thibodeau, VE2PRT
Trésorier : James Hay, VE2VE
Toutes ces personnes entreront en fonction au lendemain de l’assemblée générale annuelle qui se tiendra le 13 juin prochain.
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