Bjr et merci à tous ceux qui ont soutenu ma démarche pour le 630 m, nous n’aurons mis que un an …vis à vis de l’Europe. Pas mal!
Un « Pan Pan Pan sur le bec » pour ceux qui sont du style; “responsable de haut niveau de l’ARCEP que j’ai eu au téléphone” on serait en droit de demander quel étage (pour le niveau)! Dommage qu’ils n’ont “ramé” dans le même sens …et qu’ils se dissimulent derrière des pseudos, mais il est vrai que l’actualité “plaide” pour eux!

Bon, la suite est de demander l’extension du 160m comme nos voisins …C’est bientôt le vote européen…voilà un beau sujet!
De plus je continue à penser qu’une classe novice est nécessaire, une classe avec une partie pratique, j’entends par là que l’opérateur ne soit pas un “consommateur de fréquence à 59″….mais soit aussi capable de jouer du fer à souder …ce qui donnera des QSO qui dépasseront le “59 what is your call?” !!!

73 F6CIU et vive l’ARCEP!
http://f6ciu.over-blog.com/

Date de publication : jeudi 13 mars 2014
Assemblée plénière du 27 novembre 2013

Le Conseil a transmis à l’Agence nationale des fréquences (ANFr) les données relatives aux droits d’utilisation du spectre dont il est l’affectataire dans la gamme des fréquences comprises entre 400 MHz et 6 GHz. Ces informations seront publiées dans le registre européen des fréquences appelé EFIS (www.efis.dk), afin de répondre aux demandes de la Commission européenne faites en application de sa décision du 23 avril 2013 qui détaille les modalités d’un inventaire du spectre dans les États membres.

Les membres de l’association « ADRASEC 43 » (Association départementale des radio-amateurs au service de la sécurité civile) se sont réunis dernièrement en assemblée générale dans une salle de la maison des sports, 16 rue du Général Lafayette au Puy.

source: Le Journal de la Haute-Loire – Chaque association départementale des radioamateurs au service de la sécurité civile (ADRASEC) est une association régie par la loi du 1er juillet 1901, qui regroupe des radioamateurs bénévoles, motivés par la sauvegarde des vies humaines et qui se mettent volontairement, avec leur matériel et leur compétence, au service de la sécurité civile.
Chaque association est reconnue au sein d’une Fédération Nationale (FNRASEC) par la direction de la sécurité civile et par la direction des transmissions et de l’informatique du Ministère de l’Intérieur, comme infrastructure supplétive utilisable lors d’opérations de secours en se tenant à la disposition du préfet.
Dans le cadre particulier du plan SATER (plan sauvetage-aéro-terrestre), l’ADRASEC peut être mobilisée pour la recherche d’aéronefs accidentés ou présumés tels, par l’écoute et la localisation des signaux de détresse, grâce à leurs équipements spécifiques (radio-goniomètres).
Et la Haute-Loire, traversée par des couloirs aériens, n’est pas à l’abri de ce risque.

A retrouver dans les pages de l’édition papier datée de vendredi 14 mars 2014 de L’Eveil de la Haute-Loire

info: F6HOY – Une nouvelle version du logiciel est disponible sur le site du CCAE.
Plus qu’un logiciel de log !

Simple et confortable avec des liens dynamiques avec Google-map, QRZ.com…

la version 1.2.7
– Multiples calls,
– Liens automatiques avec GoogleMap ,
– Liens automatiques avec QRZ.com,
– Liens avec les web Cluster,
– Navigateur internet intégré,
– Affichage des distances, direction d’antenne,…
– Mode contest, mode Pile-up,
– Cartes QSL,
– Graphiques, Statistiques,
– Emails,
– Import/export en ADIF,
– Base de données d’images des calls,
– PSK31,
Et plus, plus encore…

Lisez la documentation de configuration et n’hésitez pas à me contacter si vous avez des problèmes.
73 de F6HOY
Jean-Luc (membre #0003 du CCAE)

source: letelegramme.fr – Adrasec. Une association de passionnés de radio qui aident la sécurité civile
12 mars 2014

Quelque vingt passionnés de radio amateur ont participé aux travaux de l’assemblée présidée par Jean-Marie Polard (cinquième à droite, au second rang)..
L’assemblée générale de l’Association départementale de radio amateur pour la sécurité civile (Adrasec 22) s’est tenue, dimanche, au siège du Codis, sous la présidence de Jean-Marie Polard, de Louargat, et en présence d’une vingtaine de participants, dont le référent de la préfecture en responsable de tutelle. Depuis trois décennies, ces passionnés de radio ont un seul idéal, celui de servir. Leurs interventions, toujours soumises à l’autorité préfectorale, sont effectuées en terme de communication et de transmission. Au coeur des situations difficiles, qui exigent compétence et coordination entre les éléments mis en action.

Projets d’exercices en 2014

Les 23 adhérents de l’Adrasec 22 vont devoir tester, en 2014, l’état du matériel (décodeur, goniométrie), l’état des connaissances, et l’équipement vestimentaire. À cet effet, deux exercices de simulation et une mobilisation grandeur réelle sont programmés. Il s’agit d’une situation de panne générale du réseau téléphonique (filaire, portable) en juillet, puis d’un accident aérien à proximité de la Rance (recherche et secours) coordonné à la préfecture d’Ille-et-Vilaine, en octobre. Enfin, en novembre, pour la Route du Rhum, en liaison avec les PC de Saint-Malo et de Fréhel.

Je m’initie tranquillement au Raspberry Pi et je vous explique aujourd’hui comment faire un programme en Python permettant de lire ses entrées et de contrôler ses sorties GPIO (general purpose input output).

Oui, bon, je sais: je suis loin d’être le premier à en parler mais c’est là où j’en suis: pour l’instant, en matière de Raspberry Pi, je suis encore très débutant. J’avais déjà de bonnes bases de Python, mais jusqu’à tout récemment ma seule connaissance de Linux se résumait à l’information suivante:
« le logo est un pingouin ».

Sans trop de surprise, cette première expérience consistera à allumer une LED en appuyant sur un bouton poussoir: nous aurons donc l’occasion d’utiliser une entrée (commandée par le bouton) et une sortie (qui contrôlera la LED).

Continuez la lecture

source: chasseurs-ballons.org – Ce dimanche 9 mars 2014, nous avions rendez-vous à Bourg-en-Bresse (01) pour un projet de ballon stratosphérique un peu particulier. En effet, Nicolas nous a contacté pour le suivi technique et la récupération d’une nacelle portant trois poupées symbolisant trois fillettes (Fiona, Marina et Typhaine) pour dénoncer les violences faites aux enfants.
C’est donc pour l’association Innocence en danger que le projet « Trop tôt dans les étoiles » a été réalisé ce jour et pour lequel nous avons accepté immédiatement d’apporter notre aide.

Le Ballon Stratosphérique a donc été lâcher depuis le parc de Bouvent à Bourg-en-Bresse en ce dimanche. Il aura parcouru une grande boucle le menant tout d’abord à l’ouest proche du Val de Saône puis il sera repassé au sud de Bourg avant d’éclater (28528m d’altitude) à la verticale de Serrière-sur-Ain dans le Revermont puis de revenir se poser plus proche des Dombes entre Lent et La Tranclière.

Le suivi n’aura donc pas été compliqué et le spectacle garantie pour le convoi qui nous suivait Les participants au projet et les journalistes on pu successivement voir le déroulement des opération de suivi et s’émerveiller de voir la nacelle en phase de descente tout d’abord à 3500m d’altitude puis dans son finale de 900 a 400m d’altitude entre étangs et forêt. Ce dernier a fini sa course à une quinzaine de mètres du sol dans un Chêne, heureusement un grimpeur dévoué (et assuré par une bonne équipe) est parvenu à récupérer le tout sans trop de difficultés.

Retrouvé en 46.11343°N 5.22475°E sur la commune de Lent (01).

Nous espérons bientôt voir un beau montage des vidéos prises depuis de la stratosphère particulièrement en la mémoire de ces enfants maltraités.
Merci Nicolas pour ce beau projet !

Voir les photos

Voir le reportage vidéo de M6

source: Sciences et Avenir – L’entreprise française d’électronique de défense et d’aérospatial, travaille à la mise au point d’un ballon capable de se maintenir seul à haute altitude.
PROJET. Thales Alenia Space le décrit comme « un nouveau concept de plateforme stratosphérique autonome ». Ce projet futuriste qui répond au nom de Stratobus consiste en un imposant ballon oblong, long de 100 mètres pour 37 de diamètre.

Mais l’objet n’est ni un dirigeable destiné à arpenter doucement les cieux, ni une montgolfière dérivant au gré du vent, et encore moins un ballon captif relié au sol par un câble. Une fois déployé sur le terrain et après que son enveloppe a été remplie à l’aide d’un gaz plus léger que l’air, le Stratobus larguera les amarres et grimpera en une dizaine d’heures jusqu’à la limite de la stratosphère, à 20 km de hauteur.

Une lutte contre les vents pour se maintenir immobile

Ainsi perché bien au dessus des nuages et des courants aériens, cet étrange véhicule sur lequel planchent les ingénieurs de l’entreprise française d’électronique, de défense et d’aérospatial, entamera alors une lutte de plusieurs mois contre les courants aériens.

En savoir plus.