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Faites le plein d’eau… à la station-service

Radioamateur.ch Publié le 18 septembre 2015 par ELEKTOR18 septembre 2015

Plus de batteries, juste de l’eau et du soleil
L’automobile électrique se passera peut-être bientôt de batteries. Toyota, précurseur en la matière, ouvre la voie avec son modèle Mirai (« futur » en japonais) à pile à combustible à hydrogène. Tout se joue autour de cet élément, abondant (dans l’eau) sur Terre. Aujourd’hui, puisque le stockage de l’énergie électrique elle-même reste malcommode et coûteux, on commence par produire de l’énergie électrique dans des centrales, ou au moyen de cellules photovoltaïques, pour obtenir ensuite, par électrolyse de l’eau, et à grand renfort de moyens techniques, de l’hydrogène facile à stocker comme source d’énergie.
D’où l’intérêt de la production directe d’hydrogène, au moyen d’une remarquable cellule photochimique d’un nouveau genre, réalisée avec des moyens techniques beaucoup moins coûteux que jusqu’alors. Ici, l’électrolyse utilise une membrane en plastique et deux électrodes faites de matériaux courants : au lieu du platine utilisé jusqu’ici comme catalyseur, la photoanode et la photocathode font appel ici à du nickel et du molybdène, bien meilleur marché ; et pour prévenir l’oxydation des métaux photosensibles au contact de l’eau, une couche nanométrique de dioxide de titanium (rien de spécial, il y en a même dans votre dentifrice).
Un jour viendra où la production d’hydrogène se passera d’électricité : il suffira d’une cellule solaire et de l’eau, sans oublier la lumière du soleil, bien sûr !
Santé !

Thomas | Elektor

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Peau artificielle et panneau tactile

Radioamateur.ch Publié le 11 septembre 2015 par ELEKTOR11 septembre 2015

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Le prototype peut répondre aux appels, commander la musique et régler le volume, et ce n’est qu’un aperçu de son potentiel.

Le prototype peut répondre aux appels, commander la musique et régler le volume, et ce n’est qu’un aperçu de son potentiel.

Certains trouvent trop voyants les montres tactiles et autres appareils portables, pour d’autres, leurs zones tactiles sont au contraire trop petites pour leurs doigts. Que diront-ils de cette peau artificielle qui transforme le bras (ou la jambe) en commande à distance ? C’est un morceau d’épiderme artificiel à base de caoutchouc silicone biocompatible et de silicium enrichi au carbone qui devient organe de commande pour des circuits électroniques.

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Matériaux 2D enfin stables à l’air libre

Radioamateur.ch Publié le 6 septembre 2015 par ELEKTOR6 septembre 2015

Les matériaux bidimensionnels (2D) suscitent l’enthousiasme, mais certains inconvénients les empêchent de remplacer le silicium. En effet, la majorité de ces cristaux d’un atome d’épaisseur sont instables à l’air libre, qui les fait réagir et se décomposer avant que leurs propriétés puissent être déterminées et leurs applications potentielles étudiées.
Une équipe de chercheurs de l’Université de Manchester a enrobé ces nouveaux cristaux 2D réactifs de matériaux plus stables, comme le graphène, dans une chambre à gaz inerte conçue pour ça. Grâce à une méthode spéciale pour transférer les matériaux 2D sur un substrat et les aligner, ils ont obtenu des matériaux 2D qui résistent au monde réel.

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Une batterie automobile de seulement 3 kg

Radioamateur.ch Publié le 5 septembre 2015 par ELEKTOR5 septembre 2015

Avec ses 3 kg à peine, le nouveau modèle de batterie automobile appelé Ohm pourrait un jour remplacer avantageusement les batteries conventionnelles. Censée tenir deux fois plus longtemps que les modèles usuels au plomb, cette batterie Ohm devra faire démarrer une voiture au quart de tour, à tout moment, y compris à des températures extrêmes (–40 °C). Sa légèreté est synonyme de consommation réduite de carburant. Un processeur intégré met la batterie en veille lorsque son niveau de charge devient trop bas, ce qui réduit la consommation de courant à la seule auto-décharge de la batterie. Elle restera dans cet état jusqu’à ce que l’on tourne la clé. Il ne faudra alors que 30 secondes aux supercondensateurs pour se recharger et permettre le démarrage. Voilà qui devrait éviter la décharge de la batterie lorsqu’on oublie d’éteindre ses phares en quittant son véhicule.
Hélas, ce petit miracle n’est pas encore sur le marché ; le site Gethom renvoie les internautes vers une campagne de financement participatif Indiegogo. Là, une vidéo vante ses mérites. Avec succès, puisque l’objectif plutôt modeste de 50 000 $ est d’ores et déjà atteint, bien avant la fin de la campagne. Vous vous laisseriez bien tenter par ce nouveau modèle de batterie pour la somme pas si modique de 199 $, disponible dans un an, mais souhaitez sans doute comme nous en savoir plus sur ses caractéristiques.

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Parfois, il suffit de changer de sens

Radioamateur.ch Publié le 29 août 2015 par ELEKTOR29 août 2015

Les bobines (ou les selfs) ne sont pas faciles à miniaturiser, contrairement aux résistances, aux condensateurs et aux transistors. Quand il n’y a pas assez de place pour caser une bobine, vous pouvez toujours … la simuler ! Place au gyrateur, inventé par l’ingénieur néerlandais Bernard D.H. Tellegen alors qu’il étudiait la théorie des réseaux. Il l’a proposé comme cinquième élément linéaire qui permet de se passer de transformateur et de bobines. Si l’on arrive à faire se conduire un circuit capacitif de manière inductive, et à obtenir ainsi un transformateur idéal à l’aide de gyrateurs, on réduit finalement à seulement trois le nombre de composants linéaires des réseaux électriques : la résistance, le condensateur et bien sûr le gyrateur lui-même.

Bernard Tellegen

Ce dimanche marquera le 25e anniversaire de la disparition de B. Tellegen. Il était l’auteur de nombreuses inventions, et le détenteur de 41 brevets américains au total. N’oubliez pas de lever votre verre ce jour-là à la mémoire de Bernard !

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Le premier aéroport autosuffisant du monde

Radioamateur.ch Publié le 28 août 2015 par ELEKTOR28 août 2015

Le parc photovoltaïque de l’aéroport s’étend sur 18 hectares.

Devinez où se trouve l’aéroport qui est officiellement le premier au monde à fonctionner exclusivement à l’énergie solaire ? Dans un pays ensoleillé, bien sûr ! C’est à Cochin, en effet, que le quatrième plus grand aéroport d’Inde en termes de trafic international, peut se targuer de sa neutralité totale en termes d’énergie : il en produit donc autant qu’il en consomme, grâce aux 46 150 panneaux solaires de la centrale solaire de 12 MWc (mégawatts-crête) voisine de l’aéroport. Le parc photovoltaïque couvre 18 ha de terrain. Les panneaux devraient produire chaque jour 50 à 60 MWh. Il est intéressant de noter que l’aéroport de Cochin reste connecté au réseau de distribution électrique, parce que même dans une zone habituellement très ensoleillée, une série de journées nuageuses n’est pas à exclure.

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Recharge-express grâce à l’aluminium

Radioamateur.ch Publié le 28 août 2015 par ELEKTOR28 août 2015

Un noyau d’aluminium enveloppé de dioxyde de titane constitue l’anode de la batterie.

Vous connaissez les affres du téléphone (presque) déchargé et sans aucun possibilité de le recharger, juste au moment où vous allez en avoir besoin ? Si à cet instant précis il vous reste 6 minutes, vous serez intéressé par un nouveau type de batterie susceptible d’être rechargé complètement en… six minutes ! Avec en plus une capacité quatre fois supérieure à celle des batteries lithium-ion actuelles et une dégradation plus lente au fil du temps.

Ces qualités exceptionnelles sont à mettre au crédit de nanoparticules, avec un noyau d’aluminium enveloppé de dioxyde de titane. Ce noyau agit comme l’anode de la batterie. La capacité de stockage d’énergie de l’aluminium (substance bon marché comme le lithium et le silicium) est beaucoup plus grande par unité de poids que celle du graphite utilisée sur les batteries conventionnelles. Il se dilate quand il est chargé, puis se contracte lorsqu’il est déchargé. La répétition de ces processus consomme du lithium et réduit la capacité de la batterie avec le temps. Des recherches menées conjointement à l’Université de Tsinghua (Pékin) et au MIT ont montré qu’en enfermant l’aluminium à dans une coquille d’oxyde de titane qui le sépare de l’électrolyte liquide, il pouvait se dilater et se contracter librement. Les inconvénients connus des batteries lithium-ion sont évités ici par l’utilisation de l’aluminium.

Le diamètre du noyau d’aluminium est de 50 nm, la coquille de dioxyde de titane n’a que trois ou quatre nanomètres d’épaisseur. Lorsque de telles nanoparticules sont utilisées pour l’anode d’une batterie au lithium-ion, sa capacité de stockage est de 1,2 Ah par gramme. Même si la charge rapide réduit la capacité de la batterie de moitié, à 0,66 Ah par gramme encore c’est presque le double de celle des batteries au graphite (0,35 Ah/gramme).

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Pas de panne sèche sur l’autoroute électrique

Radioamateur.ch Publié le 23 août 2015 par ELEKTOR23 août 2015

L’un des principaux obstacles (psychologiques) à la diffusion massive de voitures électriques est la crainte des utilisateurs que leur voiture ne soit pas assez chargée pour les amener à leur destination. Pour éliminer cette crainte (pas tout à fait injustifiée), une autoroute spéciale va être testée en Angleterre, qui permettra aux propriétaires de véhicules électriques et hybrides d’en recharger la batterie pendant qu’ils roulent.

Une technique de chargement sur véhicule en mouvement a déjà été mise en fonction en 2013 dans la ville sud-coréenne de Gumi avec un processus appelé Shaped Magnetic Field In Resonance (SMFIR). Des champs électromagnétiques produits par des câbles électriques enfouis sous un trajet de 12 km sont convertis en électricité par une bobine montée sous des véhicultes expérimentaux dont les batteries sont donc rechargées par ce procédé en soi classique.

Highways England a déjà mené avec succès un test de faisabilité. Plus tard cette année, un site d’essai sera construit en dehors du réseau routier public, où, pour recharger leurs batteries, des voitures électriques et hybrides seront équipées d’un appareil sans fil tandis que sous la route sera installé un dispositif dont le principe n’a pas encore été divulgué.

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Vos noix sont en sécurité maintenant – Au moins contre le rayonnement électromagnétique

Radioamateur.ch Publié le 21 août 2015 par ELEKTOR21 août 2015

protect-350x175Portez-vous une protection en bas ? Je parle de protection contre le rayonnement électromagnétique des appareils sans fil. À peine certaines études montraient-elles qu’il pouvait réduire la qualité du sperme, que déjà quelqu’un flairait la bonne affaire et voici… Wireless Armour, le premier sous-vêtement blindé, censé protéger la fertilité masculine. Le créateur de ce slip affirme que son maillage d’argent tissé dans l’étoffe bloque jusqu’à 99,97 % des signaux Wi-Fi, par exemple.
En attendant des preuves scientifiques solides de cette nocivité pour nos bijoux de famille, Wireless Armour annonce cauteleusement que « si finalement le rayonnement EM se révélait inoffensif, ils n’en resteront pas moins des sous-vêtements très confortables, dotés de toutes les autres propriétés bénéfiques de l’argent ». Certes…

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Mémoire dopée

Radioamateur.ch Publié le 31 juillet 2015 par ELEKTOR31 juillet 2015

La semaine dernière, Intel et Micron ont dévoilé un nouveau type de mémoire non volatile. Les puces, baptisées 3D XPoint (prononcer cross point), pourraient bientôt rendre plus rapides tous les appareils qui manipulent des données : des téléphones mobiles et ordinateurs portables avec disques SSD aux séquenceurs génomiques et superordinateurs.

Ce nouveau type de mémoire fonctionne 1 000 fois plus vite qu’une NAND classique.

Cette nouvelle puce abandonne les transistors traditionnels qui constituent le noyau de la mémoire flash actuelle. En fait, le matériau qui compose chaque cellule de mémoire XPoint modifie ses propriétés physiques pour avoir une résistance électrique élevée ou faible, ce qui représente respectivement 1 et 0. De plus, de multiples couches de ces cellules sont empilées pour former une structure en 3D qui permet à chaque cellule d’être manipulée individuellement. Comme chaque cellule est abordée séparément, Intel indique que la nouvelle puce peut fonctionner mille fois plus rapidement qu’une mémoire NAND classique et durer bien plus longtemps avant de tomber en panne. L’organisation de type quadrillage permet également d’empiler les couches, d’où une densité dix fois supérieure à celle d’une NAND ordinaire.

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Du papier électronique au bord des routes

Radioamateur.ch Publié le 31 juillet 2015 par ELEKTOR31 juillet 2015

Les écrans de la marque E Ink sont un support intéressant pour afficher des informations qui ne changent pas en permanence. Ils ne requièrent pas beaucoup d’électricité pour leur alimentation, sont faciles à lire malgré les variations d’éclairement et restent relativement abordables. Ils ont quitté les appareils portables (liseuses, ordiphones, montres…) pour investir les rues de Sydney (Australie). Ces écrans à l’air libre communiquent avec un serveur central via une connexion 3G et fonctionnent entièrement à l’énergie solaire. Comme les écrans E Ink standard ne disposent pas de rétroéclairage, ils sont illuminés la nuit venue pour garantir leur lisibilité, grâce à un film qui guide la lumière semblable à celui de la liseuse Kindle Paperwhite.

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Votre téléphone ne vous chauffera bientôt plus les doigts

Radioamateur.ch Publié le 27 juillet 2015 par ELEKTOR27 juillet 2015

Le graphène peut être utilisé aussi bien pour construire des processeurs plus puissants, des cellules solaires plus efficaces, de meilleurs casques audio ou des batteries de plus longue durée. Une variante tridimensionnelle du graphène pourrait bouleverser le refroidissement de nos appareils.

Le nitrure de bore hexagonal (h-BN, aussi appelé graphène blanc) est similaire au graphène en 2D (du carbone épais d’un atome). Toutefois, le graphène blanc est un isolant naturel alors que graphène est un excellent conducteur, également pour la chaleur, dont l’évacuation rapide et efficace reste une nécessité primordiale en électronique. Cependant, la chaleur ne se déplace rapidement que dans un plan et non à travers des couches, dans le graphène comme dans le nitrure de bore.

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Publié dans ELEKTOR,www.radiocom.org

Cherchez l’erreur: 30€ de remise sur votre kit Raspberry Pi

Radioamateur.ch Publié le 22 juillet 2015 par RADIOCOM.org22 juillet 2015

ELEKATOR
Offre reçue par mail.

Par contre sur le site d’ELEKTOR, l’erreur a été rectifiée.

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Naviguez sur l’internet à 4 km de votre point d’accès réel

Radioamateur.ch Publié le 10 juillet 2015 par ELEKTOR10 juillet 2015

Le Proxyham Raspberry Pi, qui utilise la Wi-Fi longue distance et une liaison radio de 900 MHz pour transmettre le signal Wi-Fi jusqu’à 4 km du routeur, va certainement intéresser ceux qui recherchent l’anonymat en ligne.

Sa taille est celle d’un (gros) routeur. Il comprend un Raspberry Pi Wi-Fi et trois antennes, utilisées l’une pour se connecter à un réseau source (un réseau Wi-Fi public par exemple) et les deux autres pour transmettre un signal Ethernet à une fréquence de 900 MHz. Pour le capter, les utilisateurs devront donc brancher une antenne de 900 MHz à leur ordinateur. ProxyHam agit comme un « proxy matériel » qui dirige le trafic local (c’est-à-dire le vôtre) à travers un réseau Wi-Fi distant, celui d’un établissement public, une bibliothèque par exemple. Ainsi, l’identification de la véritable source de trafic devient (plus) difficile. Dans les pays peu soucieux de démocratie, le ProxyHam intéressera les lanceurs d’alerte et autres journalistes que les autorités veulent museler, car ils courent souvent de très gros risques s’ils sont trahis par leur adresse IP. Ils ont donc tout intérêt à se trouver ailleurs, comme le leur permettra le dérouteur ProxyHam. Celui-ci établit un pont RF entre l’ordinateur de l’utilisateur et le point d’accès à l’internet.

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Zapper rien qu’en y pensant

Radioamateur.ch Publié le 26 juin 2015 par ELEKTOR26 juin 2015

Zapper rien qu’en y pensant

Nous avons tous cherché notre télécommande un nombre incalculable de fois. Sans parler des boules de nerfs qui trouvent pénible de devoir soulever leur zappette. Ne serait-il pas plus simple de changer de programme de TV par une simple commande mentale ? Tout le monde a un cerveau, il ne manque qu’une application. Voici un projet qui nous éclaire sur la façon dont un tel procédé pourrait être utilisé un jour.

Bien des formes d’accès pourraient et devraient être améliorées, en particulier pour les personnes handicapées. Il faut des interfaces beaucoup plus commodes pour l’utilisateur. Un conducteur devrait pouvoir simplement penser à une station de radio particulière pour qu’elle soit réglée sur son autoradio sans avoir à lâcher le volant.

Le prototype élaboré par la division numérique de la BBC emploie un casque d’électroencéphalographie à bas prix pour mesurer l’activité électrique du cerveau dont une application expérimentale d’accompagnement utilise les états de « concentration » ou de « méditation » comme moyen de commande.
L’application affiche un « compteur » de la concentration et permet à l’utilisateur d’effectuer des actions une fois atteint un certain seuil de concentration. L’application offre au cobaye le choix entre cinq émissions populaires de la BBC, chacune étant mise en surbrillance pendant 10 s. Pour choisir le programme mis en évidence, l’utilisateur a 10 s pour se concentrer avant que cette station soit sélectionnée. C’est encore rudimentaire, mais la faisabilité semble à la portée de futures recherches.

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La casquette connectée pour retrouver les enfants égarés

Radioamateur.ch Publié le 26 juin 2015 par ELEKTOR26 juin 2015

Dans des endroits très fréquentés comme les parcs d’attraction, les musées et les festivals, il est difficile de garder le contact visuel avec ses enfants. Tous les parents connaissent les frayeurs que peut causer une seconde d’inattention. L’Australienne Justine Mittelheuser a mis à profit ses quatre années d’expérience dans la communication en champ proche (Near Field Communication ou NFC) pour créer les chapeaux et casquettes Tappy munis d’une puce NFC (étanche). Ainsi, pour les parents, le risque d’égarer leur progéniture est considérablement réduit.

La communication en champ proche consiste en un échange d’informations par ondes radio entre la puce NFC et un dispositif NFC (téléphone ou tablette). Contrairement au Bluetooth, NFC ne requiert pas de couplage, la proximité suffit.

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Un atome d’épaisseur pour l’ampoule la plus mince du monde

Radioamateur.ch Publié le 19 juin 2015 par ELEKTOR19 juin 2015

Les ampoules électriques sont des voisines gênantes, car pour émettre de la lumière, elles doivent s’échauffer fortement. Ces températures très élevées sont mortelles pour tout ce qui se trouve autour. Il n’est donc pas…
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De l’eau, du papier, de l’électricité !

Radioamateur.ch Publié le 19 juin 2015 par ELEKTOR19 juin 2015

ELEKTOR

Si vous mélangez du papier et de l’eau sale, vous obtiendrez du papier mâché, et peut-être… de l’électricité. Du moins avec cette nouvelle batterie pliante, alimentée par de l’eau sale ! En fait, tout liquide contenant des bactéries renferme suffisamment d’énergie pour alimenter cette batterie d’un nouveau type.

Deux des inconvénients des accumulateurs ordinaires sont d’une part leur poids (et leur encombrement) lorsqu’on doit les transporter, et d’autre part les techniques spéciales d’élimination à mettre en oeuvre une fois qu’ils sont usés. C’est pourquoi cette technique à base de papier intéressera notamment les chercheurs qui travaillent dans des régions isolées. Le papier est bon marché, biodégradable et peut aspirer une solution par capillarité. Une fois pliée, cette batterie à la taille d’une pochette d’allumettes. Elle peut même être fabriquée à partir de papier machine ordinaire.

Pour donner au papier ses propriétés électrisantes,…

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LED éclairée par gravité

Radioamateur.ch Publié le 13 juin 2015 par ELEKTOR13 juin 2015

Plus d’un milliard d’humains n’ont pas l’électricité. Une fois le soleil couché, pour avoir de la lumière, elles doivent brûler quelque chose. La plupart utilisent des lampes au kérosène, non seulement coûteuses (jusqu’à 30 % du revenu du foyer), mais qui dégagent des fumées néfastes. Le dispositif appelé GravityLight propose une solution d’éclairage astucieuse et bon marché : ni prise de courant ni panneaux solaires ni batterie, mais un système électromécanique mû par la gravité.

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Wi-Fi : une source d’énergie à glaner

Radioamateur.ch Publié le 13 juin 2015 par ELEKTOR13 juin 2015

Aujourd’hui les récepteurs Wi-Fi sont conçus pour récolter les informations transportées par ces signaux, demain c’est l’énergie elle-même de ces signaux Wi-Fi qui alimentera des appareils dépourvus d’alimentation propre.

Le chercheur Vamsi Talla a fait des essais intéressants. À proximité d’un routeur Wi-Fi (modifié pour les besoins de l’expérience), il a placé une antenne de réception destinée à glaner l’énergie rayonnée par ce routeur Wi-Fi, et s’en est servi pour alimenter un simple capteur de température par ailleurs dépourvu de toute source d’énergie.
Fort du succès de cette expérience, il l’a reproduite avec, à la place de la sonde thermique, une caméra dotée d’un capteur de faible puissance, capable de prendre des images en noir et blanc de 174 x 144 pixels, à raison de 10,4 mJ d’énergie par image. L’adjonction d’un condensateur à faible fuite permet de stocker l’énergie glanée par l’antenne Wi-Fi pour le capteur photographique. De façon à rayonner une plus grande quantité d’énergie à récolter, la modification du routeur consiste notamment à le faire émettre non seulement sur le canal Wi-Fi utilisé, mais aussi sur les canaux adjacents inutilisés, et en mode continu.

La sonde thermométrique a ainsi pu fonctionner jusqu’à une distance de près de 10 m du routeur (avec toutefois l’aide d’une batterie rechargeable). L’appareil photo a pu fonctionner sans batterie jusqu’à 5 m du routeur, à raison d’une capture d’image toutes les 35 min. Le principe est applicable aussi à travers un mur de briques, avec l’appareil photo à l’extérieur et l’alimentation à l’intérieur. Avec le développement de l’Internet des Objets, l’énergie glanée aura un rôle croissant à jouer dans l’alimentation des appareils connectés.

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