L’AK-NCS2211 est un module amplificateur Audio Mono pratique et peu coûteux avec un amplificateur audio qui dispose d’une sortie sélectionnable de gain.
Il est donné pour développer une puissance de 1 W sous 8 ohms ou 1.5 W sous 4.5 ohms sous une alimentation de 2.7V à 5.5V.
Son poids (6 grammes) et ses dimensions de (25 x 28 x 13.5 mm) en séduiront plus d’un pour leurs montages.
Archives pour la catégorie electronique
Les Transducteurs : Au Cœur de l’électronique
A la vue du titre, vous vous demandez certainement ce que c’est un transducteur. Nous répondrons à votre préoccupation par une petite définition. L’architecture informatique décrit le transducteur comme étant un dispositif qui converti un signal physique en énergie électrique. Il est présent dans la plupart des appareils électroniques telles que les microphones, les écouteurs […]
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Des supercondensateurs remplacent les batteries des alimentations de secours
Des supercondensateurs remplacent les batteries dans les applications d’alimentation de secours grâce à un chargeur de 3 mm × 3 mm Par Jim Drew Ingénieur d’applications senior Linear Technology Introduction Les supercondensateurs trouvent leur…
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Les textiles électroniques (Innovation)
Une équipe internationale de chercheurs, menée par Helena Alves, du laboratoire CICECO de l’Université d’ Aveiro (UA) a mis au point une nouvelle technique pour introduire des éléments électroniques en graphène, matériaux flexibles et transparents, d…
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Développement d’un projecteur laser destiné aux téléphones mobiles (Innovations)
L’un des premiers projecteurs laser pouvant être intégré à un smartphone est développé à l’université polytechnique de Varsovie (WUT). Sa consommation est sensiblement inférieure à celle des produits existants ce qui lui permettrait d’être utilisé po…
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Microélectronique haute performance : nouveau projet de recherche européen (Microélectronique)
Lancé en avril 2015, le projet de recherche européen « Seven-Nanometer-Technology » (SeNaTe) vise notamment à concevoir des circuits intégrés de taille réduite pour la microélectronique de haute performance. Plus de 40 acteurs de la recherche et de l’i…
continuez la lecture: http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/78616.htm
RasPi, prends garde !
Le CHIP, nano ordinateur comparable au Raspberry Pi et compatible avec l’Arduino, devrait coûter moins de 10 €. Il dispose d’un processeur de 1GHz et d’une GPU Mali. Sa sortie vidéo composite peut être convertie…
L’opérateur japonais NTT Docomo va mettre en oeuvre l’identification par l’Iris dans ses smartphones (Sciences et Technologies de l’Information et de la Communication)
Le premier opérateur japonais NTT Docomo va utiliser la technologie développée par Fujitsu [1] pour permettre à ses abonnés de s’identifier sur leur smartphone. Docomo a dévoilé un téléphone (le Arrows NX F-04G, sous OS Android) qui sera équipé avec …
continuez la lecture: http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/78489.htm
Des transistors organiques à commande optique de haute performance (Electronique)
Des chercheurs du Laboratoire de Nanochimie de l’Institut de Science et d’Ingénierie Supramoléculaires (CNRS / Université de Strasbourg), en collaboration avec l’Université Humboldt de Berlin (Allemagne), l’Université de Stanford (USA) et l’Universit…
continuez la lecture: http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/78472.htm
La diode a maintenant un équivalent thermique (Electronique)
Un des éléments fondamentaux de l’électronique, la diode, a maintenant un équivalent thermique. Un groupe de chercheurs de l’Institut des Nanosciences du Conseil national de recherches (Cnr-Nano) et de la Scuola Normale Superiore a développé une diode…
continuez la lecture: http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/78441.htm
L’IdO, nouvel outil du facteur
Poussée à diversifier ses activités entre autres par la baisse du volume du courrier (-5,8 % en 2014), La Poste s’est lancée dans les services de téléphonie mobile, et s’intéresse maintenant à l’Internet des Objets. L’entreprise publique projette de déployer le réseau de télécommunications LoRa sur lequel un bouquet de services sera proposé. Par exemple la mesure des dépenses énergétiques (gaz ou électricité) ou le suivi de la santé des personnes âgées.
Ce projet est rendu possible par l’évolution des compteurs électriques et la multiplication d’appareils communicants, du tensiomètre ou pilulier reliés à un centre de télémédecine, ou encore aux plus classiques thermostats, détecteurs de fumée et caméras de surveillance. Avec ses 240 000 postiers à l’œuvre 6 jours sur 7, La Poste bénéficie d’un formidable relais de croissance dans l’Internet des Objets. Le potentiel est grand, si on en croit la prévision de 15 à 80 milliards (une fourchette large !) d’objets connectés d’ici 2020, dont 2 milliards dans l’Hexagone.
Pour couvrir le territoire français, La Poste peut s’appuyer sur 10 000 bureaux. Des discussions ont été engagées avec …
Passez à l’énergie crotte de chien !
Bravo aux propriétaires de chien(s) qui, par civisme, ramassent les déjections de leurs quadrupèdes pour les mettre à la poubelle, emballés dans un sac plastique. Nous avons mieux à leur proposer, car cette matière… dernière pourrait se changer en matière… première, et produire de l’énergie.
Océane Izard, genevoise propriétaire de trois chiens, lassée sans doute d’avoir à se baisser à longueur de promenade, a conçu Poo Poo Power pour convertir la crotte en énergie. Un sac biodégradable contenant les déchets est placé à l’intérieur d’un « digesteur », qui contient des bactéries mangeuses de boue. En consommant les excréments, les bactéries produisent du méthane, converti ensuite en électricité stockée dans des batteries utilisables partout dans la maison. Selon l’électronicienne, 250 à 340 g de matière fécale d’un beagle suffisent pour alimenter un ventilateur pendant deux heures. Imaginez l’énergie que l’on pourrait obtenir avec un dogue allemand…
Les chiens produisent des millions de tonnes de crotte qui finissent à la décharge, où elles dégagent dans l’atmosphère du méthane, un gaz à effet de serre. Autant faire d’une crotte deux coups en le récupérant à des fins utiles et écologiques.
Circuit de commande PWM de LED (60 V /4 A)
Le commutateur de puissance DMOS interne du LT3952 facilite la commande de LED de forte puissance. Ce convertisseur élévateur DC/DC compact associe des boucles de régulation de l’intensité en entrée et sortie avec une régulation de la tension de sortie et fonctionne en source de courant / tension. Avec une gamme de tensions d’entrée de 3 V à 42 V, il couvre un vaste champ d’applications.
Le LT3952 alimente jusqu’à seize LED blanches (350 mA) sous une tension d’entrée nominale de 12 V. La détection de courant en amont convient aux modes élévateur, abaisseur, abaisseur-élévateur ou SEPIC. Les interférences électromagnétiques sont réduites grâce à une modulation de fréquence interne par étalement de spectre. Le rendement dépasse 94 % en mode élévateur (pas besoin de radiateur !). En cas de LED en court-circuit ou ouverte, le circuit est protégé par un dispositif interne. Une broche spécifique permet à l’utilisateur de fixer lui-même la fréquence entre 200 kHz et 3 MHz. À 2 MHz, le rendement dépasse 90 %.
Avec un signal de commande PWM externe, le commutateur PMOS permet d’obtenir des rapports de variation de luminosité de 1 à 4 000. La broche CTRL permet d’atteindre un rapport de 1 à 10, tandis qu’avec le générateur PWM interne le rapport de luminosité pourra varier de 1 à 5.
Le LT3952EFE est disponible en boîtier TSSOP de 28 broches.
Google conquiert le ciel
Fournir une connexion Internet avec des ballons, voilà la mission surprenante du projet Loon lancé en 2013 par Google. Des millions de kilomètres on été parcourus à travers le monde pour mettre en place un réseau viable. Les ballons volent à environ 20 km au-dessus du sol, plus haut que les avions commerciaux. Aujourd’hui, ces ballons se maintiennent en vol pendant plus de 100 jours. Leur assemblage qui au début prenait des jours est désormais une question d’heures : des dizaines de ballons sont lancés chaque jour.
Le dispositif suit la norme LTE (Long Term Evolution), grâce à laquelle n’importe quel téléphone ou tablette LTE aura accès à l’Internet même dans les zones rurales et isolées. Google établit des partenariats avec les opérateurs de télécommunication locaux dans divers pays, Vodafone en Nouvelle-Zélande, par exemple.
Pour offrir une couverture Internet continue, il faut une chorégraphie complexe où des milliers de ballons sont programmés de telle sorte que chaque ballon prenne sa place juste au bon moment. Le système de contrôle de la mission suit chaque ballon du lancement jusqu’au moment de sa descente vers le sol (ce qui en facilite la récupération) et fournit une couverture là où elle est nécessaire. Or, deux Terriens sur trois (!) n’ont pas accès à l’internet aujourd’hui.
On trouve des ballons du projet Loon aussi bien sous les tropiques que dans la région arctique. C’est aussi fascinant qu’effrayant, quand on songe à ce que Google sait déjà de chacun de nous.
Drones, protection d’une espèce en voie d’extinction
Pour les passionnés de drones, la disparition de leur aéronef dans un crash est leur pire cauchemar. Aussi sophistiqués soient-ils, les drones finissent généralement en morceaux après une perte de contrôle. Un nouveau système de récupération pourrait marquer un tournant dans l’évolution des drones.
Le système se compose d’une caméra orientée vers le bas, d’une centrale inertielle, d’un capteur de distance, d’un accéléromètre et d’un gyroscope, tous gérés par un processeur de téléphone tactile embarqué. La caméra et le capteur de distance établissent en continu une carte du sol en 3D. Le système entre en action lorsque les capteurs détectent que le drone est en chute libre. Grâce à la caméra, le système cherche des repères pour distinguer le haut du bas. Il stabilise ensuite le vol à la même hauteur où le drone était précédemment.
Mais ce n’est pas le seul avantage de ce système développé par l’Université de Zurich. Lorsque le drone décèle la chute libre, il lui suffit d’une seconde pour se redresser. C’est si rapide que ce système pourrait rendre les drones plus fiables pour une utilisation en intérieur, où il y a plus d’obstacles et moins d’espace à la verticale.
Que faire si le drone, à court de batteries ou victime d’une défaillance mécanique, ne peut pas continuer à voler ? Dans ce cas, le système trouve une zone pour un atterrissage d’urgence en toute sécurité, ce que le drone peut faire de façon autonome. Voilà de quoi aider à la sauvegarde des drones.
Moteurs : positionnement magnétique de palier sans capteur
Un rotor flottant dans un moteur électrique économise l’énergie. Mais le maintien magnétique du rotor à sa place exige un système complexe de capteurs. Des chercheurs de l’université technique de Vienne ont trouvé un moyen d’y arriver sans aucun capteur.
Les paliers flottants comptent de nombreux avantages dans les machines tournantes. Ainsi, dans les systèmes de stockage d’énergie à volant d’inertie, il importe que les pertes par frottement soient minimales. Les pompes à vide et les moteurs ne peuvent atteindre de très hauts régimes qu’avec des paliers flottants, avec lesquels il faut stabiliser la position du rotor au moyen de régulateurs électroniques, sans quoi, il risque d’y avoir un contact métal contre métal dans le palier, avec pour conséquence un atterrissage destructif. Le surcoût d’un système de capteurs pour ce positionnement électronique est malheureusement élevé. Les chercheurs sont partis de l’idée que les électroaimants utilisés pour le positionnement pouvaient aussi servir de capteurs : le courant dans ces solénoïdes dépend en fait de la position du palier. Ils ont alors construit un modèle capable de calculer exactement la position du rotor à partir de ce courant.
Les chercheurs ont installé un prototype qui fonctionne sur leur stand (E10, hall 13) à la Foire de Hanovre qui se tient du 13 au 17 avril 2015.
Le lecteur intéressé par les moteurs électriques lira avec profit l’ouvrage
LES MOTEURS ÉLECTRIQUES EXPLIQUÉS AUX ÉLECTRONICIENS
En bref : Nouvel interrupteur extra-fin – Nouvelle phase quantique observée dans une hétérostructure ZnO (Matériaux)
= Nouvel interrupteur extra-fin
L’entreprise japonaise Citizen Electronics [1] a développé l’un des plus petits interrupteurs au monde pour smartphones et autres appareils portatifs ayant une épaisseur de 1,35mm. Ce nouveau produit est une réelle a…bulletins-electroniques
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Compilation Arduino : l’intégrale des articles d’Elektor
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L‘intégrale des articles sur Arduino parus dans Elektor entre juillet 2012 et novembre 2014 est désormais disponible sous forme de compilation numérique. Les liens de la table des matières de ce document PDF permettent de naviguer directement vers les articles qui vous intéressent le plus. Un catalogue (gratuit) de tous les produits associés est disponible séparément.
Si vous êtes membre abonné Elektor GREEN ou GOLD, ce sont 250 pages que, pour la modique somme de 9,50 €, vous pouvez télécharger et commencer à lire dans quelques minutes.
Ne laissez pas passer cette offre de durée limitée.
N.B. : La nouvelle collection Elektor BEST-OF SERIES réunira sous l‘étiquette elektor select des compilations d‘articles parus dans Elektor sur un sujet donné, par exemple Arduino.
PiKasa, un écrin pour votre précieux Raspberry Pi
Le nano-ordinateur Raspberry Pi croule sous les compliments, mais aucun ne dit que cette carte procure une expérience de l’informatique propre et bien rangée. En vérité, c’est tout l’opposé : un système Raspberry Pi typique est un fouillis de câbles, concentrateurs USB, périphériques et alimentations.
Voici donc le PiKasa, un écrin qui accueillera votre Raspberry Pi pour le métamorphoser en un dispositif autonome et portable. Il s’agit d’une coque en plastique ABS de faible encombrement (format A5 environ) qui comporte tout le nécessaire pour transformer le RPi en un système informatique pleinement opérationnel, y compris écran LCD de 17,8 cm, clavier, haut-parleurs, alimentation, cinq ports USB et un port Ethernet, entre autres. La batterie n’est pas incluse dans le boîtier PiKasa, mais il vous suffira d’ajouter une batterie lithium-ion de 3,7 V.
Une fois que le Raspberry Pi a pris place dans le boîtier PiKasa, on ne peut pas refermer le couvercle, toutefois cet assemblage facilite l’utilisation du RPi (de type 1 ou 2). La mise en service ne pourrait être plus simple : il suffit d’enficher le RPi dans son support du boîtier PiKasa, de remonter le panneau arrière et de mettre l’appareil sous tension via l’interrupteur intégré pour que le système soit prêt à exécuter les applications chargées sur la carte SD du RPi.
L’aluminium plus fort que le lithium-ion ?
Votre téléphone mobile vous accompagne partout, sauf quand vient le moment de recharger les batteries, c’est là son point faible. De nouvelles pistes sont explorées pour trouver une alternative aux batteries lithium-ion et aux piles alcalines classiques que des millions d’entre nous utilisent chaque jour. L’aluminium pourrait permettre de concevoir une batterie rechargeable très rapidement et de longue durée. Depuis des décennies, la recherche lorgne l’aluminium (le même que celui des canettes) comme élément de base des batteries. Il est bon marché et souple, et présente une faible inflammabilité ainsi qu’une grande capacité de stockage de charge.
Le prototype en photo ici est composé d’une anode en aluminium, d’une cathode en graphite et d’un électrolyte liquide ionique dans une poche souple recouverte d’un polymère ; son temps de charge est d’à peine une minute. Il est capable de subir plus de 7 500 cycles de charge sans perte de capacité. A titre de comparaison, une batterie typique lithium-ion supporte environ 1 000 cycles. Enfin ce prototype ne s’enflamme pas, même si on le perce.
Malheureusement, cette batterie à l’aluminium n’est pas encore commercialisable parce que cette innovation née à Stanford ne produit qu’environ deux volts d’électricité. C’est plus que nos bonnes vieilles piles AA et AAA de 1,5 V, mais une batterie lithium-ion présente une tension nominale de 3,6 V. Cette batterie d’un nouveau genre est prometteuse puisqu’elle présente déjà des avantages : des électrodes peu coûteuses et un fonctionnement en toute sécurité.