WREN est un satellite de très petite taille, 5x5x5 cm, d’un poids de 250 grammes. Il a pour objectif de travailler en SSTV sur la fréquence IARU 437,405 MHz en montée et descente.

WREN est en mode veille/balise sur 437,405 MHz pour 1,6 secondes, puis écoute six minutes pour attendre toutes les commandes. Si aucune n’est reçu il va se mettre en veille pendant 2 minutes avant de transmettre à nouveau la balise. L’équipe WREN a publié les informations suivantes: WREN SSTV. commandes de base reçues en mode FM:
Transpondeur on/off: 1 = long, 0 = court, laisser un blanc très net entre les bits.
• Activer / HK: 110011
• attendre la réponse dans les 2 secondes
• Caméra ON: 11111
• attendre la réponse
• Capture & Thumbnail recevoir: 110
• décodeur devrait afficher l’image miniature 12*14 pixels peut répéter cette commande jusqu’à ce que quelque chose utilisable apparaît
• envoyer SSTV: 110100
• martin-1 image SSTV est … en 320 × couleur 240 pixels Wren devrait répondre aux commandes dans les deux secondes.
Attendez toujours au moins deux secondes après avoir reçu les données avant de les envoyer à WREN. Il sera lancé fin novembre sur une fusée Dnepr depuis Dombarovsky près de Yasny, qui a pour mission de mettre en orbite le satellite principal, UNISAT-5. C’est UNISAT-5 qui va déployer WREN un mois plus tard. Il serait opérationnel en janvier 2014. Préparez les bons outils ! AMSAT-UK

Source: leparisien.fr/ – Après la phase de l’expérimentation, 2014 pourrait être l’année où des clients commenceront à avoir régulièrement recours aux mini-drones, qui veulent se tailler une part du marché des services aériens.
Ailes volantes, quadracoptères ou appareils aux formes moins futuristes, ces minuscules engins volants sans pilote ont un rôle complémentaire à jouer à côté des satellites, des avions et des hélicoptères, estime Emmanuel de Maistre, président de la Fédération française du drone civil.

« La cartographie, la surveillance des pipelines, des lignes de chemin de fer ou à haute tension, l’inspection des ouvrages d’art, l’agriculture ou la sylviculture offrent un terrain de jeu énorme », dit-il. « Mais il va falloir du temps pour s’établir sur les différents marchés ».

Le mini-drone est plus agile et moins cher à l’heure de vol que l’avion ou l’hélicoptère. Il est plus facile à déployer qu’un satellite et, volant à basse altitude, offre une meilleure définition d’image.
La ville de Lomé, au Togo, a du attendre 15 mois pour obtenir une carte par satellite complète, en raison de la couverture nuageuse, rappelle M. de Maistre. L’usage d’un drone aurait permis de réduire fortement les délais.

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