3ème génération du photovoltaïque : DisaSolar mise sur l’électronique imprimée
Aujourd’hui, 80% du marché du photovoltaïque solaire est représenté par des panneaux conçus à base de silicium utilisé sous sa forme cristalline. C’est la 1ère génération du photovoltaïque solaire. Une 2ème génération propose des panneaux dits « couches minces » ou « thin films ». Plus légers, plus fins, voir plus flexibles, ils présentent l’avantage de pouvoir être posés sur des surfaces courbes et des éléments mobiles comme un train ou un autobus. Certains de ces panneaux sont à base de CIGS (Copper Indium Gallium diSelenide), d’autres constitués de CIS (Copper Indium Selenide), une troisième sorte étant conçue à base de CdTe (Tellurure de Cadmium). Enfin, ce sont des cellules solaires organiques, dérivées du carbone et imprimées sur un support plastique qui constituent une 3ème génération en train d’émerger et dont les atouts sont considérables. PME d’une quinzaine de personnes, DisaSolar, si elle commercialise et installe déjà des panneaux issus des deux premières générations, mène le développement de ceux de la 3ème, avec l’ambition d’être leader sur le marché des panneaux solaires organiques souples fabriqués par impression jet d’encre.